De réels actes de vandalisme sont à déplorer : bris de deux urinoirs, porte saccagée, grilles des urinoirs arrachées, robinets d’eau froide dessoudés, plaques de propreté et poignées de portes volées etc...
Ces détériorations du bien public sont inadmissibles et leurs réparations sont d’un coût très lourd pour l’établissement qui jusqu’à présent n’avait pas connu d’actes aussi répréhensibles.
La surveillance de ces lieux sera renforcée et tout élève surpris à détériorer le bien commun sera très sévèrement puni. Le remboursement des réparations sera facturé aux familles.
Je vous prie de croire, Madame, Monsieur, à l’assurance de mon entier dévouement.
La Principale F. OILLEAUX-PELLERIN
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